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Cancer du sein : comprendre le dépistage

A l’occasion de la campagne nationale de prévention Octobre Rose, nous sensibilisons ici à la prévention et au dépistage du cancer du sein. Objectif : mettre en lumière les bonnes pratiques visant à sauver des vies, mais aussi celles qui améliorent la qualité de vie des femmes en limitant le risque.

Alptis soutient Octobre Rose © Adobe Stock

Le dépistage, un indispensable

Première cause de cancer chez la femme, le cancer du sein présente de bien meilleures chances de guérison lorsqu’il est détecté précocement.

Les chiffres sont clairs : chaque année, ce sont plus de 10 000 de ces cancers agressifs qui sont dépistés. 

Toutefois, grâce à un dépistage précoce, il est possible d’atteindre un taux de survie de 99%.

La guérison dépend de plusieurs facteurs, tels que le stade de la maladie, l’âge de la patiente, la taille et le type de tumeur. Cependant, grâce aux progrès de la médecine et au dépistage précoce, neuf femmes sur dix sont en vie cinq ans après le diagnostic.

Quand et comment se faire dépister ?

Pour prévenir tout risque du cancer du sein, il est essentiel de suivre les recommandations suivantes en matière de dépistage :

  • Dès l’âge de 25 ans, faites pratiquer un examen clinique (observation et palpation) chaque année par votre généraliste ou votre gynécologue.
  • À partir de 50 ans, en l’absence de symptômes, faites-vous dépister tous les deux ans par mammographie.
  • Après 74 ans, continuez à surveiller votre santé mammaire et consultez régulièrement votre médecin généraliste.

Sensibilisons notre entourage !

En ce mois d’Octobre Rose, Alptis encourage chacun à se mobiliser pour la prévention, le dépistage précoce et la recherche contre le cancer du sein.

Ensemble, nous pouvons contribuer à sauver des vies en sensibilisant nos proches autour de nous, et en partageant toute l’info essentielle santé et prévention.

Avirose : l’activité physique comme alliée

Il est prouvé que l’activité physique renforce l’immunité et contribue à la prévention de nombreuses maladies, y compris le cancer. Des études récentes (Revue Cancers, 2022) démontrent que l’activité physique peut réduire de 30 à 40% les risques de récidive de certains cancers.

Le programme Avirose met en avant l’aviron, une activité physique dont les mouvements favorisent la reconstruction, notamment pour les femmes touchées par le cancer du sein.

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